L'enquête

J'arrivai par téléportation au pied du palais royal. Les deux gardes à l'entrée me barrèrent la route.

- On ne passe pas !
- Hey les mecs ! Je viens euh... réparer le toit du palais !
- On ne passe pas !
- Oh et puis merde...

D'une simple manchette j'assommai les deux gardes, et continuai ma route. Je poussai les deux portes géantes, et me dirigeai directement dans la salle de réunion. La secrétaire me fit signe de rester dehors, mais rien à foutre, je me plaçai devant la porte, et la fit voler en éclat avec un kiaï.

- Coucou ! dis-je à l'attention des hauts dirigeants de Végéta, médusés.
- Mais, c'est... Darkos ! Le Super Saïyen Légendaire ! Saisissez-le ! ordonna le roi aux gardes.

Ceux-ci ne firent pas long feu puisque je les assommai d'un coup de poing en plein visage. Le prince se leva, et me fusilla du regard. Je sentais que son aura grandissait ; il était prêt à m'affronter. Arrogant au possible, je m'adossais au mur, attendant une parole de quelqu'un. C'est le roi qui parla le premier.

- Enfin, Darkos, que fais-tu ici ? On te croyait mort ! Maintenant, on va te chercher partout... un mandat d'arrêt contre toi a déjà été envoyé !
- Pourquoi devrait-on m'arrêter ? demandai-je bêtement.
- Tu es si bête que ça ? lança un des hommes assis. C'était un général, pas très grand ni très physique, mais qui semblait tout de même fort. Enfin, tout est relatif...
- T'es qui pour me parler comme ça, tête de lard ? répondis-je, souriant, cherchant le conflit.
- C'est pourtant évident... tu es le plus puissant des Saïyens, tu dois donc t'enroler dans l'armée. C'est une obligation. me rétorqua le général.

Le prince n'acceptait pas que l'on dise que j'étais plus fort que lui.

- Lui, le plus fort ? Mouhahaha ! je peux le vaincre sans utiliser toute ma force ! railla le prince.
- J'ai pas envie de me battre maintenant, gamin. Je viens juste pour passer un message... autour de cette table, il y a des pourris. Des gros pourris. Alors faites gaffe à votre derrière, paske je suis de retour... et je vais cogner sévère.
- Quelle connerie ! cria un autre général, visiblement plus vieux que l'autre.
- Comment ?... commença le roi, mais il ne put finir sa phrase, car déjà j'avais brisé une vitre de la salle pour m'en aller.
- A plus, les loosers ! leur lançai-je avant de mettre les voiles.


[A suivre...]