¤ La Guerre ¤

Intro :J'avançai en compagnie de ma mère, et de mon frère, vers notre maison. Tout semblait calme, et paisible, jusqu'au moment où j'entendis une fracas de rochers, comme si l'un d'eux venait de s'effondrer.

- Désolé, je dois y aller ...

Aventure :Je les embrassais tout les deux, avant de m'envoler en direction du bruit. J'avançai, intrigué qu'il se passe déjà quelque chose sur ma planète, alors qu'elle venait d'être refaite.
J'entendais des voix. Je m'arrêtais, puis revenais au sol, marchant très doucement, presque sourdement. Je pouvais distinguer trois Namek, que je ne connaissais pas. Le 1er était grand, et mince. Il avait un visage marqué de très réguliers, un haut front, des yeux emplis de haine, un petit nez, des joues marqués de blessures, des lèvres entaillées, un long et fin menton, et pourtant un teint frais. Le 2è lui était semblable, mis à part au niveaux de ses yeux gris, et de ses joues pleines. Le dernier semblait le plus en forme. Il était très peu blessé, et dégageait une puissance équivalente à la mienne : non transformé. Ses yeux étaient clairs, et montraient plus de bien que de mal.
Un peu plus loin, je distinguai un autre inconnu, mais pas un Namek. Il était aussi grand que le 1er Namek, mais encore plus mince. Il avait une sorte de cuirasse blanche/argentée sur tout le corps. Son visage légèrement ridé faisait peur. Son regard fixe et déterminé, voulait bien dire qu'il ne voulait pas faire du bien ... Il ne portait aucune marque de coup. Je sortais de l'hombre, et regardais le monstre d'un sourire en coin, d'un regard gai.

- Un de plus ou un de moins, ça ne changera rien, annonça-t-il.

Il me lança une énorme BE parsemée d'éclairs, que j'esquivai grâce à mon déplacement foudroyant. Par la même occasion, j'arrivai à côté de lui. Mon poing alla se poser directement à sa joue. Il partit un peu sur le côté, puis je l'enchainais d'un coup de genou au beau milieu du ventre. Il cracha du sang noir, puis se plia vers l'avant. Je lui mettais alors une manchette par dessous son menton plat. Il dégringola, alors que je préparai mon attaque. Au moment où il se stabilisa, je lançai mes mains vers l'avant, faisant jaillir un puissant rayon mauve (le Canon Garrick). Il anéantit mon adversaire. Quelques parties de son corps retombèrent une par une ; je les détruisais. Le 3è Namek s'approcha de moi, posant sa main sur mon épaule.

- Beau boulot petit. mais il n'était qu'un simple soldat de l'armée Jouky.
- Hein ? C'est qui ça ?
- Nos ennemis, qui sont venus pour conquérir notre planète ... tu n'étais pas au courant ?
- Heu ... non.
- Bon, hé bien faisons connaissance, je suis Hyak, lui (le 2è) c'est Gyos, et lui Moyr.

Ils me dirent de les suivre sans crainte, et qu'ils allaient m'amenait chez le roi. Je les suivant tranquillement, sans stress.
Nous arrivâmes au palais du chef. Hyak entra le code, puis nous entrâmes dans l'immense monument. Les murs étaient ornées d'argent, et de peintures d'ancien temps. Nous montâmes les quelques centaines d'escalier, avant d'arriver devant le bureau du roi. Nous entrâmes ensemble, puis nous saluèrent le chef, avant de nous assoir. Il me dévisageai rapidement, et compris que j'étais bien plus puissant que les autres Nameks.

- Bien, vous ferez vos missions ensemble, vous pouvez détruire et tuer ce que bon vous semble ; vous avez carte blanche.
Disposez.

Nous sortîmes du palais sans bruit, puis nous mîmes d'accord d'attaquer le camp A12 de l'armée Jouly ...

[ A suivre ... ]

CHAPITRE I : 1ère Mission

Je sentais comme une joie en moi de participer, aussi jeune, à une vraie guerre. De risquer ma vie pour ma planète, de tuer pour ma planète. Nous volions à toute vitesse vers l'un des camp des Joukys. Nous arrivions sur une falaise. Hyak nous stoppa, puis nous nous couchèrent au sol, avançait vers la pointe de la falaise. D'un regard instructif, je voyais un immense vaisseau, juste là, à quelques mètres. Ils étaient bien 25 soldats autour, à surveiller, équipés d'un canon. Plus loin, prêt d'une rivière, trois guerriers, vêtus d'une tenue de combat telle celle des sayens, parlaient à voix basse.

- Nous allons commencer par eux, dit Hyak.

Nous courions vers l'EST, le plus discrètement possible. Seulement, je trébuchai sur un piège, dissimulait dans l'herbe. Je ne pus retenir ma douleur, et je criai tellement fort, que le piège cassa. J'entendis des tonnes de bruit de canon, faisant partir leur coup. Ils tiraient complètement au hasard, comme des gogoles. Nous esquivions sans mal, jusqu'à ce que Hyak nous ordonnes de descendre, aller au corps à corps. Je ne pouvais plus me préoccuper des autres à ce moment. Je me retrouvais face à 7 soldats armés, tirant partout. Leur canon n'étaient pas du tout sophistiqués, ce qui permettait que je me fasse parfois toucher. Je déchainais mon corps, me laissant totalement libre. J'esquivai un canon, puis mettais un coup de pied à un soldat, et ainsi de suite. Je mettais enfin débarrassé de ces minables, et je pouvais aller aider Hyak, qui combattait seul face aux trois soldats d'Elite.
Mon premier coup atteint directement son but, faisant se plié mon nouvel adversaire. Je lui mis un coup de genou, puis un coup de poing. Mon enchainement continua par trois coups du tranchant de la main à la nuque. Il se tordait de douleur devant moi. Après quelques autres coups plus amusants les uns que les autres, je venais de l'achever. Je tournai la tête, et voyais que Hyak avait réussi aussi. Par contre, de l'autre côté, Gyos et Moyr étaient presque morts ; couchés sur le sol, recevant des dizaines de coups. Je laissais monter ma colère ...

- Syko ! Hurla Moyr dans un hurlement de douleur.

J'attrapai l'un des 5 soldats restant, et lui transperçais le ventre avec mon épée, plus brillante que jamais. Je fonçai sur les 4 autres, dans un cri très grave qui raisonna trois fois, avant de s'éteindre. Le sang giclait de partout, créant des flaques sur le sol. Je venais de tuer les derniers soldats, puis rangeais mon épée. Je m'approchais des deux combattants, au bord de la mort. Ils m'attrapèrent les avant-bras. Je sentis passer en moi de l'énergie ... leur énergie. Ils succombèrent aussitôt. Je versai une larme, quand Hyak reçut un message. "Retournaient vite à la capitale, grande attaque ennemie"Hyal m'aida à me relever, puis nous partîmes vers la capitale. Nous arrivâmes dans un paysage de destruction. Il restait tout au plus 5 immeubles encore debout, à moitié cassés, le reste était détruit. Je criai alors comme un fou, faisant retourner le guerrier qui avait fait ça.

[ A SUIVRE ]

CHAPITRE IV : Un Mercenaire Surpuissant

Je fonçai droit vers le lieu du cri. Je passai au dessus d'une montagne, et une fois arrivée à son sommet, reconnu Hyak. Il était debout, la tête baissée, recourbé sur lui-même. Son aura avait presque disparut, et son corps était recouvert de sang, et de marques de coups. Je voyais ensuite quelqu'un apparaitre à côté de lui. Celui-ci lui mit un coup de poing très léger, qui le fit se plier en deux. Il fit tombé le Namek d'un coup de poing à sa nuque. Il tourna ensuite la tête vers moi. Il était petit, mince. Un long turban noir, avec deux bandes qui partaient sur les côtés. Son visage jeune, une mine pâle. Ses yeux saillants, son nez retroussé et ses petites lèvres le rendaient vraiment laid. Il avait la peau tirait du blanc. Son habillement long ; noir, avec motifs rouges foncés.
- Enfoiré !
Son poing se déposa brutalement sur ma joue. Je tombai, marquant le sol de mon bras. Je me relevai, et le voyais déjà devant moi, prêt à attaquer. J'encaissai son poing, puis son autre poing. Je voulais riposter d'un même coup, mais il esquiva, et me frappa en réponse d'un coup de genou, puis d'un coup de pied "tendu". Je dégringolai en bas de la montagne, aux côtés de Hyak, relevait lui aussi. Il s'élança vers notre adversaire, lançant des BE. Inutiles, car l'autre était déjà passé dans son dos. Il tendit sa main droite devant lui, et en sortit une puissante attaque, en forme de spirale ; noire. Dans un cri atroce, Hyak s'écroula, marqué de brulures au dos. A peine l'idée d'attaquer m'était venue que je recevais un coup de genou, puis un de poing. Je reculai en basculant de tout cotés, tentant en vain d'esquiver. Je fis un salto arrière de façon à marquer une pose. J'étais recouvert d'égratignures, très peu souffrantes. Je me demandais comment faire pour le vaincre.
- Tu es vraiment ... faible.
Il me regardait avec mépris, puis m'assénait un coup de poing au ventre. Je trébuchais ; et tombais encore une fois. D'un bond vers l'avant, je voulais le frapper de mes pieds, mais il se téléporta dans mon dos, et riposta d'un coup de son pied gauche. Je me rattrapais à un arbre, et tournai la tête à sa recherche. Je reçus à nouveau quelques coups dans mon dos, puis ripostai en vain, réfléchissant en même temps à un plan.
- Haaa !
Je levai les yeux, et voyais une énorme BE arriver juste au dessus de nous. Je dégringoler en même temps que la BE toucha le sol. Des secousses terribles se produirent, puis je me reculai en faisant des roulades. L'attaque de Hyak nous avait blessé un peu. Je voyais ensuite mon compagnon tomber à quelques mètres de moi ; sous les coups de terrible mercenaire Jouly ...

[ A SUIVRE ]

CHAPITRE V : Etrange Mercenaire

Hyak tombait en sang, à côté de moi ; creusant un fossé. Je sentais en moi monter ma véritable force. Mon aura apparut tout en s'ondulant un peu sur les bords. J'avais la tête baissé, et voyais rien que le sol, et mes pieds. Mon regard changea du tout au tout. On pouvait à présent lire sur mon visage de la haine, et dans mon regard de la tristesse. Je me mis en position de combat, prêt à me défendre. Je voyais le mercenaire (Fox) foncer vers moi ; le visage fermé. Je bloquai son premier coup, avant de riposter de même. Il me contra avec son avant bras.
- Pourquoi t'en prends tu à Namek ?
Il resta pensif, puis me décocha une petite droite qui me tourna juste la tête. Je ripostai de mon pied, mais il le stoppa avec ses mains.
- J'ai été engagé par les Joulys ; comme mercenaire.
Je restai concentré, prêt à bloquer son prochain coup. Il se mit de dos, et tendis son pied vers l'arrière. Je me le prenait dans le ventre, et me pliait en deux, quand il se retourna, et me heurta par dessous le menton. Je m'envolai en tournoyant, puis me stabilisai. Je scrutai les environ à sa recherche, quand je le vis au loin ; entouré dde son aura bleu nuit. Je sentis à ce moment une sorte d'onde de choc me traversait, puis mon haut de vêtement se coupa en diagonale, faisant gicler mon sang. Je me tenais le torse, quand une autre onde eut lieu, m'entaillant la jambe droite cette fois. Je serrai les dents à chaque coup ; impuissant. Je sentais de nouveau une attaque à mon épaule gauche cette fois. Je regardai au loin mon adversaire. Il avait toujours un air calme, à l'aise ; et sobre. Alors que je le fixai, je ne sentis plus de coups me toucher, et soudain, il disparut dans l'obscurité.
- Etrange personnage ...
Je volai au prêt de Hyak. Il était inconscient, je suppose presque mort. Je décidai de l'emmener à l'hôpital. Je marchai dans le forêt, quand un arbre s'effondra juste devant moi. Je vis défiler une fine silhouette noire, sautant d'un arbre à un autre. Puis, un bruit de craquement derrière moi, comme quand on écrase une branche. Je me retourne, et ne vois plus personne ; je n'entends plus rien.
- Qui es-tu ? Montre-toi !
Je posai le corps de mon chef par terre, doucement. Je vis une nouvelle silhouette passée, mais légèrement plus grosse que la précédente. Je lançai des BE à tout va, espérant toucher l'un d'eux. Alors que j'en lançai, je sentis dans mon dos comme une brulure. Je me retournais, stoppant mes BE. Mon réflex fut de regarder en direction de Hyak. Il était toujours là. Je regardai alors autour, et voyais sortir trois guerriers, totalement masqués d'une combinaison noire. On pouvait à peine voir leur yeux gris.
- Nous sommes tes tueurs ... murmura le plus petit.
Ils disparurent. Je sentis un coup de vent dans mon dos. Par réflex je lançai une BE qui fut esquivée. Le 2è apparut à ma droite. Je l'envoyais s'écraser contre un arbre d'un simple coup de coude. Le 3è me lança une BE mauve, que je dégageais d'une main. J'en lançai un qui atteint son but, et le tua. Le 1er revint devant moi.
- Tu es très fort, tu as réussi à tuer ces deux là, mais maintenant ...
Quatre autre humain identiques apparurent à côté de lui. Il devait surement utiliser une technique de clonage.
- Comme tu voudras ...
J'apparus à côté du créateur. Je lançais mes poings vers lui. Il était doté d'une incroyable esquive, mais cela ne suffisais pas. Mes coups le touchaient rarement, mais ils étaient d'un telle puissance, qu'à chacun d'eux, il sentait sa force diminuer. J'en finissais avec lui. Les 4 autres me lancèrent un rayon que j'esquivai, puis dans mon élan, je fonçai sur eux ...

[ A SUIVRE ]

CHAPITRE VI : Le village de Niaké

Mon aura s'enflamma. Des cercles de ki se mirent à m'entourer, tout en montant. Ils disparaissaient et réapparaissaient de haut en bas. Mon poing droit alla directement frapper un clone au milieu de son ventre. Il s'évapora. Le second fonça sur moi, sans réfléchir. Je lâchais un petit sourire en coin, puis tendait ma main vers lui. Comme je me doutais, il apparut derrière moi. J'avais déjà concentré une BE de mon autre main, et lui lançait. Il s'éteint alors ; lui aussi. Les deux autres décidèrent de m'attaquer ensemble. Surement espéraient-ils avoir plus de chances. L'un d'eux me lança une BE, tendit que l'autre disparaissait. J'attendais le dernier moment. Celui où la BE me frollera, et le clone apparaitra derrière moi.
- Maintenant.
Je me dissipait telle la fumée, mais en vitesse accélérée. Le visage terrifié du clone, comprenant l'esquive, et la grimace du lanceur. J'apparus prêt de celui-ci, un genou à terre. Je sortais un Kunai et le couper en deux, au niveau du bassin. Mes adversaires étaient morts, et je n'avais plus de raison de rester là. Je continuais mon chemin dans la forêt, Hyak sous mon bras. La forêt s'éclaircissait, et je n'étais plus loin d'arriver au village de Niaké. D'un pas apaisé, je sortais enfin de la forêt. Le soleil était là ; rayonnant de ses plus beaux rayons, par un moment de l'histoire de Namek si catastrophique. J'avançais dans ce village apparemment très isolé. Rien n'était détruit, et les gens vivaient leur vie comme d'habitude. Un beau spectacle en ce jour. Je voyais passer à côté de moi un homme qui me jeta un regard assez froid. Ma réponse fut telle à la sienne. J'entrai maintenant dans l'hôpital. Une jeune infirmière emmena Hyak dans une chambre, pour qu'il se repose, en attendant de le soigner.
- Bien.
Avant de repartir au combat, il fallait que je change ma tenue. Mon vêtement du tournoi était complètement déchiré. Je marchai vers le magasin de vêtements le plus proche, quand un vieil homme se mit devant moi.
- Heu ... excusez moi ...
- Fais attention à toi ... petit.
Il passa ensuite à côté de moi. Comme si je ne savais pas que je devais faire attention. J'entrai dans la boutique. Elle était très sombre, et ses vêtements aussi. Tant mieux, c'est parfait pour ne pas se faire repérer. J'attrapai un large T-Shirt noir avec des motifs blancs ; un bermuda identique ; deux morceaux de tissus disposés à mettre au niveau des avants-bras de même types, de simples sandales noires, et enfin, un bandeau et une ceinture blanche elles aussi noires. J'allais à la caisse, et payais le tout. Je sortis, et vis au loin trois individus vêtus entièrement de noir, comme ceux dont je m'étais occupé dans la forêt. Je me téléportai un peu plus loin ; dans l'hombre d'un bâtiment, à les observer. Ils passèrent directement à l'attaque. Ils sautèrent sur un enfant. J'allais intervenir, quand je vis le vieil homme de tout à l'heure apparaitre. D'un coup du tranchant de la main, il coupa la respiration de l'un d'eux. Les deux autres se reculèrent, un visage craintif affiché. Le vieil homme commença à se concentrer, et je vis apparaitre autour de lui son ki blanc. Il posa platement ses deux mains devant lui. Il plia tout ses doigts, sauf le pouce qu'il laissa droit ; puis il dressa son index et son majeure. Son aura toute entière alla se plaça sur ses deux doigts.
- Bakanin Jutsu !
Les deux hommes furent projetés en l'air par un puissant vent venant du sol. Quand ils retombèrent, ils étaient morts, le visage tout aussi effrayé que tout à l'heure. Il prit les trois corps, puis se dirigea vers la forêt. Je le suivais très discrètement, par téléportations.

[ A SUIVRE ]

CHAPITRE VII : Ennemi caché !

J'apparus derrière un arbre. L'homme était de dos, et marchait doucement dans le sentier. Je me téléportais derrière un autre arbre, pour me rapprocher encore plus. Il s'arrêta aussitôt.
- Pas la peine de te cacher, je t'es vu, dit-il calmement.
Je faisais un pas sur le côté, pour me montrer. J'arrivai à côté de lui en me déplacent rapidement.!
- Pourquoi me suis-tu ? M'interrogea-t-il.
Heu ... hé bien ; je vous ai vu vous battre, et je vous ai suivit pour voir ce que vous alliez faire d'eux.
Il ne répondit pas, et se remit à marcher. Je le suivais, tout en restant sur mes gardes, surveillant les alentours. Cela faisait à peine quelques minutes que nous marchions, quand il se stoppa. Il m'attrapa le poignet, puis disparut, et réapparut derrière un buisson, juste à côté. Nous étions agenouillés, regardant le chemin. Je voyais alors un shuriken planté à l'endroit où nous étions. Et dire que je n'avais rien vu venir. Je levai la tête, et entendais un bruit de feuille.
- Je reviens.
Je disparus, et réapparus un peu plus haut, sur l'arbre. Au bout de la branche sur laquelle j'étais ; un homme masqué, trois shuriken à la main.
- Je vois ...
- Haaaaa !
Je redescendais au milieu du chemin, en sautant de l'arbre, tandis que le vieil homme restait caché. Il ne devait pas être seul. Je vis arriver en haut ; à ma droite, un shuriken. IL fut contré par l'un du vieil homme, et je pus apparaitre à côté du 1er lanceur. Je lui mis un coup de genou dans le ventre, puis, au second un coup du plat de la main à la nuque. Ils s'évanouirent tout deux, et je redescendais.
- Je pense que c'est tout.
Il réfléchit un instant, puis se tourna. Un homme était déjà derrière lui, prêt à le tuer avec un kunai. Je lançai un de mes shuriken sur lui. Quand ce dernier le toucha, de la fumée apparut.
- Un clone ...
Le vieil homme sortit du buisson, laissant les attaquants cachés là-bas. De toute façon ... ils étaient surement morts.
- Désolé petit, je dois retourner au village.
- Je comprends ... allez-y.
Il me fit un signe de la main, puis il partit en marchant. Je marchais aussi, quand l'homme se retourna, et me lança un shuriken. Quand il me toucha, une fumée explosa, et on put voir une feuille. J'apparus dans son dos.
- La substitution ...
- Oui.
Je lui assénais un coup de coude dans le dos. Il tomba ; inconscient. Je décidai d'en finir avec tout les Joulys assommés. Je mettais mes mains en face de moi ; levai l'index et le majeure ; puis les croisés perpendiculairement, au niveau de leur 1ère phalange.
- Multiclonage !
5 Clones apparurent à côté de moi. Chacun fonça sur un des inconscients, et l'acheva de quelconque manière. Je faisais disparaitre mais clones, puis revenais au village ; les mains dans les poches, un air posé sur mon visage. Je passai devant l'hôpital ; juste devant la fenêtre de la chambre de mon compagnon. Je souris un instant, puis je reçus un message : "Attaque en nombre à Kaiané, dans le sud". Je disparus, puis réapparus dans les airs. Je m'élançai vers cette ville, pour régler le problème. Grâce à ma transformation, j'allais très vite, et je parvenais à tuer quelques bandits au passage.
*Pourvus que je puisse terminer cette guerre*
J'arrivai sur le toit de la tour de garde, pour entrer dans ville, déjà en feu, enfumée.
- Hyyyaaaaa !

[ A SUIVRE ]

CHAPITRE VIII : Montée en puissance ? Changement d'apparence !

Mon aura se dégagea brutalement, faisant partir les cailloux autour de moi. Mon regard était assez habituel à mon habitude, et je partais en sautant sur le toit d'une maison en face de moi. Je continuai à courir sur les toits, tuant les assassins cachés. J'arrivai devant un immeuble de plusieurs étages. Je sautais sur le mur de l'immeuble, les pieds vers l'avant. Un fois le bâtiment touché, je concentré mon aura sur mes pieds, afin de rester en équilibre. Ca marchait. Je montais vite le long de l'hôtel, et arrivais sur le toit d'un bond. Après un beau salto, je me stabilisai sur le toit. en face de moi, cinq Joulys armés, et masqués. Je les dévisageai avec froideur.
- Arrêtes de nous regarder comme ça ! Hurla l'un d'eux, en sautant vers moi.
- Viens ... Dis-je calmement.
Il grogna, mais il était trop tard pour lui. Mon poing droit l'avait déjà traversé du milieu de son ventre. Quand je réouvris les yeux, je remarquai leur visage terrifié. Celui à ma droite me lança une balle avec son arme. J'apparus dans son dos, sans qu'il s'en rende compte. Je concentrai mon ki dans ma main gauche, et lui plantait dans le dos. Il fut emporté au loin, tout en criant, tout en mourant.
- Alors ... vous n'approchez plus ?
- Espèce de ...
Les trois sautèrent sur moi. Je n'eus même pas besoin de bouger. Ils se jetèrent bêtement sur mon clone, qui se transforma en fumée. Quand ils se retournèrent ; il était trop tard. J'avais la main tendue vers eux, prêt à attaquer ...
- Big Bang Attack !
- Haaaaa !
Des tâches de sang recouvrirent le sol, et l'une d'elles se posa sur ma cheville droite. Je regardai une dernière fois leurs miettes, puis poursuivais ma route. Plus j'avançai, et plus les ennemis se faisaient rares. Je remarquai alors que tout les soldats étaient partis ... sauf un. Je tournai ma tête vers le milieu de la rue. C'était le mercenaire de tout à l'heure, il n'y a aucun doute.
- Toi ... là-haut.
Il me désigna du doigt, puis apparus devant moi.
- Je ne t'épargnerai pas ... cette fois.
- Arg !
Je sentis avec violence son poing sur ma joue. Je me couchais sur le sol par la force . Il apparut juste au dessus de moi. Ses deux index collés, une aura noire au bout.
*C'est le moment*
- Canon Mortel !
J'utilisai la substitution pour changer ma place avec un objet ; en l'occurrence cette fois ; une chaise. Il arrêta de sourire, et commença à s'énerver. Il hurlait "SORS" avec tellement de haine, que je restai tranquillement dans cette maison. Alors que j'avançai, je sentis quelque chose à mes pieds ; puis ... j'apparus dans une autre maison, mais pas dans cette ville. Cette maison était lumineuse, et un vieux Namek se tenait assis dans son fauteuil.
- C'est toi ... Syko ?
- Oui.
Je répondis avec fermeté, et l'homme fit une drôle de tête, comme surpris. Il esquissa ensuite son petit sourire.
- Ne t'en fais pas ; je t'es juste téléporté ici pour augmenter ta force.
- Pour ... augmenter ma force ?
- Oui. Es-tu d'accord ? Sachant que ceci requiert un changement d'apparence.
Je réfléchis un instant. Je dévisageai cet homme. Il continuait à sourire ; il ne semblait pas mauvais. Je me levai, les poings serrés.
- C'est d'accord.
Il commença sa technique. Il tendit ses deux mains vers moi. Une aura blanche, et très pure s'en dégagea, et vint m'envelopper. Je fermais les yeux, comme obligé. Ma peau devint peu à peu blanche, telle celle des terriens, où des Sayens. Je grandis de quelques centimètres, et grossi un peu par la même occasion. Mon front devint moins large, moins grand. Mes yeux ne changèrent pas ; ils restèrent noirs. Le reste de mon visage ne bougea pas, seul un léger changement à mon menton, plus petit. Des cheveux noirs apparurent, raides, de quelques centimètres (comme Sasuke, mais un peu plus court). Mes vêtements ne changèrent pas, et je me réveillais ...
- C'est terminé.

[ ASUIVRE ]

CHAPITRE IX : L'arrivée d'un Sayen !

Je me regardai de bas en haut, et ne constatait aucun changement au niveau de ma puissance. Je commençai à douter, mais alors que j'étais en plein doute, il repris la parole.
- Ce qui est étrange, c'est que ta couleur de peau est changée.
- Quoi ? Ce n'est pas normal ?
- Comme je le pensais, seules certaines personnes peuvent subir cette technique. Celles-ci ont en réalité étaient transformées dans leur enfance ...
- Quoi ?
- Cela voudrait dire ... que tu es d'origine Terrien.
Je restai bouche-bée devant cette révélation. Je ne pouvais pas vraiment dire le contraire, vu mon changement actuel. Mes yeux étaient exorbités, et mes sourcils relevés. J'étais comme ailleurs quant le Namek repris la parole.
- Je n'est plus aucun doutes sur toi ...
- Hein ?
- Tu es le Terrien qui fut envoyé ici depuis la Terre, par cause de leur frayeur en voyant ta force native : Kyusé. Et je viens de réveiller cette force, bien qu'elle soit encore très bloquée ; engourdie depuis toutes ces années.
Je serai donc ... un Terrien Surpuissant ? J'étais encore tout confus, quand je reçus un message : "Rendez vous vite à la capitale Est ; un grand combat y fait rage".
- Bien ... et bien je crois que c'est le moment pour toi de partir ...
Il me fixa brutalement. Je disparus, puis apparus à la capitale Est, sur un débris de maison. Cette ville était ensanglantée. Je marchai dans la ville en ruine. Je sentais deux grandes auras vers l'Ouest de la ville ; et plus je m'en approcher, plus je sentais des frissons en moi. J'arrivai en cachette derrière un mur à moitié détruit. Je voyais par un trou à l'intérieur de lui, des personnes que je connaissais. De plus, ils ne devaient plus me reconnaitre ... même mon nom avait changé. Je tremblais encore de ce changement, mais je devais intervenir. Je lançai un shuriken entre les deux adversaires. Ils se tournèrent vers moi. Comme je le pensais, c'était bien Dioz, qui était en train de se battre. Il s'était déjà transformé en Super Sayen, et combattait ce mercenaire, que j'avais fuis tout à l'heure. Le vent se calma, et la poussière retomba. Je levai la tête. Le mercenaire était déjà au dessus de moi. Je reculai d'un pas, et une fois à ma hauteur, lançais mon poing vers lui. Il se dissipa, et vint derrière moi. Je me retournai, et bloquai son coup avec mes bras, puis le repoussais d'une décharge de ki. Dioz apparut à côté de moi.
- Qui es-tu ? Me demanda t-il.
- Je suis ... Syko ; où maintenant : Kyusé.
- Hein ?
- Ne pose pas de question, et occupe toi de lui ; moi je prépare mon attaque.
- Comme tu veux ...
Je me téléportai quelques mètres derrière.

[ A SUIVRE ]